Il y avait eu "Jules", il y a maintenant "Le retour de Jules" :
176 pages, paru en mai 2017
Oh comme il m'a paru trop court ce roman !
J'avais adoré Jules, ce chien (la photo de couverture n'est pas correcte d'ailleurs puisque Jules est un labrador ! Faudra qu'on m'explique pourquoi ce choix ??? bref !) qui travaille et ne vit que pour ça.
Il avait déprimé sévèrement dans le tome 1, lorsqu'Alice sa maîtresse aveugle avait retrouvé la vue, mettant un terme à son utilité. Il lui avait fait rencontrer Zibal, le vendeur de macarons trouvé dans une poubelle peu après sa naissance. Alice et Zibal étaient tombés amoureux.
On retrouve Jules concentré sur son nouveau travail : aider les enfants souffrant d'épilepsie. Et mieux que les aider : former les chiens à détecter les crises avant qu'elles n'apparaissent chez les enfants. Jules s'éclate dans cette nouvelle vie, même si Alice et Zibal ont eu du mal à se séparer de lui. Jules avait retrouvé une raison de vivre, sa joie...et en prime il est amoureux de Victoire, une braque talentueuse.
Alice et Zibal sont séparés, et Alice est partie en Inde apprendre à peindre....aux éléphants.
Et tout ceci est dans le roman mais existe : les chiens peuvent vraiment détecter les crises d'épilepsie avant qu'elles n'apparaissent, et des éléphants apprennent vraiment à peindre des auto-portraits en Inde ! Et on apprend d'ailleurs que ça ne se passe pas de façon correcte pour les éléphants, mais dans la souffrance, pour le tourisme...
Un jour, Zibal est appelé. Jules était embauché chez une dame âgée, épileptique. Mais Jules est en fourrière et va se faire piquer : il a mordu sévèrement le petit-fils de la dame. Zibal ne comprend pas. Il a 24h pour sauver Jules et Alice est injoignable.
Je l'ai lu quasiment en une fois, embarquée dans la vie de ce chien aussi vite que dans le premier tome. Comme j'aurais aimé 100 pages de plus !
Si vous avez aimé le premier, vous adorerez le second. Vous n'avez pas lu le premier ? Foncez le lire ! J'ai vu qu'il était en tête de gondole dans pas mal de libraires : avec raison !