Neuf parfaits inconnus
Quand j'ai vu que Liane Morriarty avait sorti un roman, j'ai sauté dessus !
512 pages. Paru en janvier 2020
Si ma publication a du retard dans la parution, c'est parce que j'ai réalisé en préparant l'article, que....ça parle de confinement. Je ne le savais pas encore en le lisant évidemment.
Donc je vous rédige le résumé, mais en espérant ne pas en rajouter une couche. C'est un pavé. On a le temps de lire des pavés en ce moment. Celui que je lis actuellement (voir la colonne de gauche) est également un pavé.
Frances est romancière. Elle a connu un énorme succès. Elle écrit des romances qui cartonnaient. Sauf que son style est resté le même, elle n'a pas évolué, rien changé, et petit à petit, sa notoriété a décliné. D'ailleurs son dernier roman a carrément été refusé ! Alors elle s'inscrit via internet pour une retraite. Pas n'importe quelle retraite : luxueuse.
Masha est la directrice de centre de retraite de luxe. Elle a des idées très arrêtées quant au fait qu'elle doit imposer une sorte de désintoxication à ses pensionnaires. Elle est entourée de Yao et Dalila, coachs de vie.
Parmi les participants, il y a une famille : Napoleon, Heither et leur fille. Ils ont subi une lourde perte, leur fils s'est suicidé. Ils ne parviennent pas à surmonter ce deuil.
Il y a aussi Carmel, mère de 4 filles, divorcée, qui voit là le moyen de se ressourcer, de passer un peu de temps loin des enfants. Elle les adore évidemment, mais n'a jamais de répit. Elle a besoin de souffler.
Un couple de gagnants du loto, nouveaux millionnaires, détruits par l'argent, vient également en retraite.
J'arrête là ma description. En tout ils sont neuf, ne se connaissent pas, mais vont apprendre à se connaître intimement, parce que Masha décide d'expérimenter sur eux une nouvelle technique et que tout dérape.
C'est un roman très prenant, parce qu'il est parfaitement écrit ! Le déroulé de la retraite est totalement inattendu. On s'attache aux pensionnaires, les personnages étant tous là pour de bonnes raisons.
Je vous conseille de le lire, mais .....à vous de voir, je ne veux pas être maladroite.