Vers le soleil
Quand Julien Sandrel sort un roman, je ne lis même pas le résumé et je fonce :
270 pages, paru en février 2021
Tess est une jeune femme secrète et un peu isolée, qui élève seule sa fille Sienna, 6 ans. Elles ont leur petite vie, Sienna est heureuse et équilibrée. La seule chose qui manque, c'est une figure masculine.
Sacha est un comédien de 30 ans, qui vit un peut au jour le jour, de petits rôles, petits boulots, sans vraie carrière.
Ils vont se rencontrer de façon très inattendue : Tess va proposer à Sacha de le payer pour jouer le rôle d'un oncle pour Sienna. Trop content de trouver ce revenu stable, Sacha accepte, sans se douter qu'il va s'attacher à cette petite fille adorable et dotée d'une particularité heureusement rare : elle est née anosmique. Sans goût, sans odorat, elle a pourtant un rêve incroyable : devenir une grande cuisinière.
Pendant 3 ans, le trio va se cotoyer, s'apprécier, s'attacher, ne plus parvenir à vivre les uns sans les autres.
Et puis au cours de l'été 2018, Sacha part en Italie avec Sienna. Tess doit s'arrêter quelques jours à Gênes voir sa meilleure amie, puis les retrouver. Elle est décidée à changer de vie.
Sauf que...
Cet été-là, le pont qui surplombe Gênes s'effondre. Tess était dessous....
Sacha va devoir faire un choix très lourd : partir avec Sienna, s'enfuir avec elle, parce qu'il apprend alors tout le passé de Tess et que disparaître avec Sienna est certainement la seule façon de lui sauver la vie.
J'ai dévoré le roman en deux soirs. Il fallait que je sache, comprenne, lise la fin !
Il est impossible de lâcher le roman avant la fin ! C'est un livre magnifique !