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Hansel et Gretel au crochet :

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Le très beau châle Norlys de Palaluna :

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Des chaussettes araignées 🕷 pour Gabriel :

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Une très belle couverture de Noël :

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8 juin 2018

J'ai perdu Albert

Bilan presque mitigé !

Mars 2018

Paru en mars 2018, 224 pages

Alors je me suis marrée pendant plus des 3/4 du roman. Et la fin m'a ....pas déçue, mais je l'ai trouvée décalée, presque hors-sujet (c'est le mois du Bac !)

Chloé est une médium très réputée, très célèbre, consultée par des gens fortunés comme par des services d'État parce qu'elle est très fiable. Riche, très riche grâce à son don, connue, elle vit sans réfléchir. Son don lui est tombé dessus à 12 ans. Et son don s'appelle Albert Einstein. Il communique en permanence avec elle, lui donne des prédictions toujours fiables. Elle cohabite avec lui depuis tellement longtemps qu'elle commence à en profiter un peu. Et Albert n'est pas d'accord.

Alors hop! il passe dans la tête de Zac, un serveur qui est surtout un apiculteur et cherche par tous les moyens à sauver les abeilles, comme son père avant lui, sans y parvenir.

Chloé est complètement destabilisée, perdue, sans Albert. D'autant que les personnes qui la consultent chaque jour continuent à la solliciter !

C'est très très drôle, très bien écrit, on se marre beaucoup à partir du moment où on ne se pose pas la question de savoir si c'est plausible ou non, et puis. Et puis le roman est court, donc la fin arrive vite. Et là, on part sur des considérations certes importantes (la paix dans le monde, sauver les abeilles, faut-il s'enrichir, etc) mais qui m'ont parues en décalage avec tout le reste du roman, très humoriste.

A lire pour se détendre parce que c'est vraiment drôle, et donnez-moi votre impression quant à ce que j'ai ressenti pour la fin !

lire

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2 juin 2018

Il est grand temps de rallumer les étoiles

J'ai (aussi !) adoré ! Boum je suis tombée dedans et j'ai halluciné en voyant les chiffres inscrits sur mon réveil !

396 pages, mai 2018

396 pages, paru en mai 2018

Quand Virginie Grimaldi sort un roman, je saute dessus ! Et je n'ai pas été déçue !

Anna a 37 ans, elle est divorcée depuis 7 ans de Mathias, et a deux filles, Chloé, 17 ans, et Lily, 12 ans.

Les chapitres se succèdent, chacun porté par une des 3 voix, chacune très particulière. Anna croule sous les dettes, ne s'en sort plus, est sur le point de perdre son boulot pour des raisons idiotes mais malheureusement très plausibles. Chloé est en pleine crise d'adolescence, n'a pas envie de grandir mais grandit trop vite, fait défiler les garçons dans son lit en étant persuadée que c'est le meilleur moyen de trouver le grand amour. Lily, aaaaaahhhh Lily ! Harcelée au collège, incapable de se défendre, douée d'un grand sens de l'humour, j'ai adoré ses expressions décalées qui m'ont beaucoup fait rire, ses secrets. Lily remplit un cahier rouge, qu'elle a appelé Marcel, nous raconte, se raconte.

Par un concours de circonstances, Anna a la possibilité d'embarquer ses deux filles, qu'elle ne voit plus, en camping car, pour aller voir les aurores boréales. Elles partent alors pour un périple de plusieurs semaines, avec beaucoup de joies, de rencontres, de découvertes, de paysages à tomber, mais aussi de prises de bec, de peurs, de règlements de compte (Anna n'a jamais expliqué à ses filles la raison de sa séparation d'avec leur père du jour au lendemain, ça lui revient en pleine figure). J'ai voyagé à travers elles, eu envie de chercher les villes, les paysages, les cascades, eu envie aussi d'y aller sur un coup de tête. On part en Norvège, en Suède, en Scandinavie, on sent toute la documentation de l'auteure et on a juste envie de tout plaquer pour foncer.

Surtout qu'on a déjà fait un périple en camping-car en Nouvelle-Zélande, donc ça m'a beaucoup beaucoup parlé, fait remonter des souvenirs, des sensations, les yeux grands ouverts....

En fond, toujours présente, il y a la grand-mère d'Anna, qui lui donne une mission très particulière pour l'aider à prendre la décision de partir. Et puis le groupe de camping-caristes auquel les filles se joignent par sécurité, finissant par s'attacher à ses gens si différents...peut-être pas si différents que ça au fond. Un roman qui évoque constamment l'acceptation de la différence et des particularités des autres.

ça m'a fait réfléchir, fait comprendre que la facilité de contact qu'il y a à Tahiti me manque sans que je m'en rende compte.

J'ai beaucoup aimé ce roman, et oui, celui-là aussi ! Pas de ma faute si de très bons auteurs ont sorti de très bons livres en ce printemps ! J'en ai raccourci mes nuits !

Celui-là aussi, je vous le conseille pour offrir quand vous cherchez un livre comme cadeau....ou à vous faire offrir !

A LIRE, vous l'aurez compris !

chat qui lit

26 mai 2018

Le triomphe des ténèbres

J'ai entendu une émission de radio avec un des auteurs. Il fallait que je lise le premier tome d'une trilogie qui me semblait intéressante. Je n'ai pas été déçue :

Avril 2018

Paru en avril 2018. 480 pages

J'ai été gênée uniquement par le fait qu'il faut suivre le rythme et que j'avais du mal le soir, mais c'est un très bon roman.

On est à la veille puis pendant la 2nde GM, et on explore ici tout le côté ésotérique (et parfois....fou) de tous ces hommes du IIIè Reich, persuadés de détenir un pouvoir quasi-magique.

Ils ont tué là aussi pour arriver à leur fin, ils n'ont pas hésité à massacrer, mentir, voler...

J'ai trouvé très très intéressante cette approche différente et plutôt moins connue des hommes qui entouraient Hitler. A la fin, toute une partie revient sur les éléments donnés dans le roman, ce qui est vrai, ce qui a été romancé, les recherches effectuées.

Car il s'agit bien d'un roman, dans lequel on se laisse entraîner facilement, même si le retour au contexte général m'a un peu perdue, mais uniquement à cause de la fatigue.

On part au Tibet, en Espagne, dans le sud de la France, en Angleterre, en Allemagne évidemment, suivant la quête éperdue de plusieurs hommes après des objets auxquels ils prêtent tous de grands pouvoirs. Tout tourne principalement autour du britannique Malorley et du français Tristan, mais pas seulement, alors j'aurais bien du mal à vous en dire plus ici.

J'ai beaucoup aimé ce roman et je suis sûre que beaucoup d'entre vous aussi l'aimeront. On est loin du feel good, loin de Violette et de son cimetière, mais il faut varier les lectures !

lire2

22 mai 2018

Changer l'eau des fleurs

Je ne pensais pas aimer autant ce roman. Il est des livres qui nous parlent. Ou pas. Celui-ci a été un grand bonheur pour moi, chaque soir et je vais lire sans trop tarder le premier roman de cette auteure :

Fév 2018

560 pages. Paru en février 2018

Je l'ai classé dans les Feel good, peut-être ne l'auriez-vous pas fait. Pourtant il n'est absolument pas négatif. Enfin je trouve.

Il s'agit de l'histoire de Violette Toussaint. Enfant trouvée, enfant de la DASS, elle s'est appelée Violette Trenet jusqu'à ses 18 ans, c'est joli, ça chante. Et puis elle a rencontré Philippe Toussaint, elle était serveuse, il était beau. Elle est devenue garde-barrière avec lui, mais c'est elle qui faisait tout, absolument tout, qui gérait tout, les horaires de train, en s'occupant de la maison, de leur adorable petite fille Léonine.

C'est l'histoire de sa vie, racontée par elle, racontée par d'autres, ceux qui lui ont caché des choses, ceux qui lui ont fait du mal, beaucoup de mal.

C'est l'histoire de la résilience aussi. Parce que la vie de Violette ne sera sereine qu'avec sa formidable rencontre avec Sacha, un incroyable gardien de cimetière, qui la sort de sa torpeur, de sa vie éteinte, pour lui donner une autre vie à sa place, calme et apaisée.

C'est aussi l'histoire triste de Philippe Toussaint, un homme abominable, qui trompe Violette à tours de bras, qui ne travaille pas, lui prend son argent, la rabaisse, ne s'occupe jamais de leur petite fille, passe son temps à "faire des tours de moto" parfois plusieurs jours sans rentrer....et justement un jour, il disparaît. Violette va mettre beaucoup de temps à faire la déclaration de disparition à la police, elle a appris à vivre sans lui, elle se plaît en tant que gardienne du cimetière. Elle a trouvé un équilibre. Et petit à petit, on apprend des éléments sur Philippe Toussaint, sur son attitude. Etait-il vraiment si noir ?

Chaque chapitre commence par une épitaphe, ou ce qui pourrait être une épitaphe, un morceau de chanson. C'est joli.

J'ai vraiment adoré ce roman, j'ai eu du mal à éteindre le soir, je voulais savoir, je voulais comprendre.

Il y a plein d'éléments dont je ne veux pas parler ici, parce que sinon vous n'aurez plus la surprise et ce serait bien dommage.

Parce que vous allez le lire ! Attention, il est difficile à quitter. J'ai eu de la peine de quitter Violette, ses chats, son salon, son thé....un vrai manque !

Ah tiens, pour celles qui cherchent un roman à offrir, il est parfait !

A LIRE !!!!

chat qui lit

20 mai 2018

Au p'tit bonheur la chance

Mais qu'est-ce que j'ai aimé ce roman !

342 pages

342 pages. Paru en mars 2018

Si le dernier roman de cette auteure m'avait déçue, celui-ci m'a emballée ! Peut-être à cause du côté autobiographique, puisqu'il s'agit de l'enfance romancée du père de l'auteur.

On est en 1968. Jean a 6 ans, il vit avec Marie sa maman, mariée à un marin bien plus âgé qu'elle. Un jour Marie réveille Jean en pleine nuit et le dépose chez mémé Lucette, femme dure mais qui prend le petit garçon avec elle sans poser de questions. Marie promet à Jean de revenir le chercher....et l'enfant passe son temps à attendre une maman qui ne lui donne pas de nouvelles, sans défaire sa valise, sans profiter de quoi que ce soit. Il attend. Il attend sa maman.

Il fait la rencontre de ses trois cousins, découvre une autre vie, une tante Françoise qu'il ne connaissait quasiment pas, la mer, sa voisine Anita. On parle de l'enfance, de l'attachement à une grand-mère (vraiment pas si revêche que ca...), de la condition des femmes à cette époque, de la difficulté d'être gaucher aussi ! Être gaucher c'est maaaaaaaaaaaal !!!!! On y parle tricot aussi, de l'immense joie de mémé Lucette recevant des catalogues Bergère de France. Forcément, j'aime !

Le coeur de Jean balance entre sa grand-mère, qu'il aime de plus en plus, sa mère qu'il attend, sa tante qui représente pour lui la mère idéale. Mais y a-t-il une mère idéale ? Est-ce que cette maman à qui il reproche tout, ne fait pas son maximum étant donnée l'époque ?

Et cette mémé Lucette si droite et abrupte, est-ce qu'elle ne cache pas aussi de grands chagrins de la vie ?

Et Jean grandit, dans l'attente, les espoirs déçus, les incompréhensions, ballotté, mais toujours aimé, même s'il ne s'en rend pas compte. On croise aussi le facteur Lucien, attentif et présent, dans un rythme d'un autre temps !

Car j'ai fortement ressenti cela dans ce roman : on vit bien plus vite qu'avant. On n'a plus le même rythme, plus du tout....

On est replongé aussi dans des logements sans eau, sans électricité, sans frigo et on apprécie d'autant plus ce qu'on a actuellement.

Un vrai très bon roman, avec des personnages forts

A LIRE !!!!

 

chat qui lit

 

PS : quand je réponds à vos commentaires sur le blog, recevez-vous une notification ? saispas2

 

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18 mai 2018

Dans le murmure des feuilles qui dansent

C'est le livre qui m'a accompagnée pendant mon hospitalisation :

400 pages

400 pages. Paru en mars 2018

J'ai beaucoup, beaucoup aimé, même si je ne m'attendais pas à pleurer autant !

Il y a deux histoires parallèles : Anaëlle et Hervé d'un côté, Simon et Thomas de l'autre. Tous des cabossés de la vie, à divers degrés.

Anaëlle est une jeune femme très abîmée, physiquement et moralement. Elle se reconstruit tout doucement, une nouvelle vie. Elle prend son temps. Elle a dû interrompre ses études, a un métier alimentaire mais sa vraie passion est l'écriture. En écrivant son roman, elle prend contact avec Hervé, procureur de la République, pour lui poser des questions d'ordre judiciaire. Il lui répond, amusé, se prend au jeu, et démarrent entre eux des échanges épistolaires "à l'ancienne", avec de vraies lettres papier, des enveloppes, du temps qui s'écoule, de la lenteur, de l'attente joyeuse. Tout ceci parasité par l'assistante du procureur au caractère épouvantable, Jocelyne, vieille fille intransigeante, secrètement amoureuse d'Hervé, jalouse et bourrée d'idées préconçues.

Il y a Simon, tout petit frère de Thomas, un enfant de la nature, des arbres, un enfant heureux et épanoui dans la forêt. Ils ont 19 ans d'écart mais un énorme amour les unit. Un jour, lorsqu'il n'a que 8 ans, Simon tombe malade. Gravement. La vie de Thomas est bouleversée, chamboulée, tourne en pointillé, chaque membre de la famille se relayant à l'hôpital auprès de Simon pour qu'il ne soit jamais seul. Thomas réorganise son travail, heureusement dans la compréhension de tous, mais avec de lourdes conséquences.

J'avais hâte que ces deux histoires se croisent, sans avoir deviné comment !

L'écriture est magnifique, sublime, les personnages très forts, très attachants, même si celui d'Hervé m'a souvent énervée. J'ai adoré suivre leur histoire, comprendre les blessures, les freins, les joies aussi, parce qu'il y en a toujours.

Attention, connaissant le parcours d'Agnès Ledig, c'est un roman triste aussi. Mais avec, toujours, cette immense résilience que nous portons tous en nous, cette capacité à trouver du bon dans du mauvais. J'avais mal à ce moment et cette histoire m'a aidée à garder le cap, à tenir. Il m'est difficile d'en raconter plus sans vous gâcher l'histoire. J'ai tout aimé, même si j'ai pleuré !

Mais n'allez pas vous faire opérer pour en profiter pleinement hein !  NonNon01

A LIRE parce qu'il est magnifique !

bisous1

14 mai 2018

Vers la beauté

J'ai eu une lecture très inattendue de ce roman :

224 pages

224 pages. Paru en mars 2018

Je n'ai pas lu la 4è de couverture. J'ai foncé tête baissée, parce que je connais la qualité d'écriture de David Foenkinos, j'aime cet auteur, j'aime ses histoires. Je venais de terminer avec beaucoup de plaisir "L'oubliée de la ferme des brumes" et j'ai plongé sans réfléchir.

J'avais lu une trentaine de pages, quand je suis tombée sur une émission de Stéphane Bern, avec David Foenkinos comme invité. Il parlait de son roman, qu'il décrivait comme grave et noir. Et je ne comprenais pas, parce que ce n'est pas du tout ce que je ressentais. En fait j'ai compris, j'ai été happée dans ce roman très très fort qui me marquera.

Antoine est un homme reconnu, apprécié. Il donne des cours d'histoire de l'art aux Beaux-Arts de Lyon. Il est talentueux, il s'investit...et du jour au lendemain il plaque tout. Son appartement, sa vie, ses cours. Il est maître de conférences et demande à travailler ....en tant que gardien au musée d'Orsay à Paris. Il veut disparaître, s'effacer, que personne ne le retrouve, que personne ne lui parle, ne plus avoir de vie, ne plus exister aux yeux des autres.

Evidemment c'est impossible. Même en n'ayant pas de portable, en n'ayant pas son nom sur sa boîte-aux-lettres, il est impossible de disparaître de nos jours...impossible aussi de n'avoir aucune vie sociale.

Qu'est-ce qui a poussé Antoine à tout plaquer ? C'est ce que va essayer de découvrir Mathilde, sa nouvelle RH.

On comprend qu'il a un lien avec une talentueuse jeune élève des Beaux-Arts : Camille.

Là le roman bascule. C'est un roman court mais qui décrit précisément, avec des mots qui font mal, la cruauté humaine, la violence dans ce qu'elle a de pire, la culpabilité, la perversion. Je n'ai pas pu m'arrêter de lire, j'ai beaucoup pleuré aussi. Pourtant ne le voyez pas comme un roman noir. Il est très fort mais l'auteur s'attache à faire ressortir le bon dans ce qu'il y a de pire, à faire comprendre qu'il est toujours possible de s'en sortir, que les solutions existent.

C'est un roman très dense, très riche, chaque mot est important, frappe juste.

Ne passez pas à côté, même si on n'en ressort pas indemne.

lire

10 mai 2018

L'oubliée de la ferme des brumes

J'ai beaucoup aimé ce roman, pourtant choisi au hasard !

288 pages

288 pages. Paru en mars 2018

Colombe est une ado qui vit seule avec frères Marceau et Silvère. Elle s'occupe de tout, absolument tout, gère la ferme. Marceau est violent, il boit, il tente même d'abuser de cette petite soeur un soir où il boit plus qu'un autre. Silvère est en retrait, effacé, déjà dans une foi profonde.

Un jour Anselme passe par là, s'arrête...et sort Colombe de cet environnement toxique. Il est le fils du vétérinaire du village, qu'il a quitté pour vivre en ville avec sa femme Violette, qui tient un magasin de chapeaux qui marche bien. Anselme place Colombe chez la cousine de sa femme, Hélène, en apprentissage pour devenir dentellière.

Colombe y fait la connaissance de Garance, qui demeurera son amie pour la vie. Elle apprend à vivre, à gagner sa vie. Elle tente de ne pas perdre de vue Marceau et Silvère mais la guerre arrive.

Le roman n'est pas très long et pourtant extrêmement bien écrit. On s'attache énormément à Colombe, à Anselme. On découvre des secrets enfouis mais aux conséquences sur le long terme, sur plusieurs générations. Des personnages avec beaucoup de qualités positives.

J'ai beaucoup aimé retrouver Colombe et les autres chaque soir.

Laissez-vous tenter, c'est un bien joli roman !

chat qui lit

2 mai 2018

La disparition de Stéphanie Mailer

Un pavé, mais quel pavé !

640 pages

 

64 pages, paru en mars 2018

En 2014, Stephanie Mailer, une journaliste, contacte l'inspecteur Jesse pour lui dire qu'il s'est trompé en 1994....puis elle disparait. Jesse retrouve son ancien co-équipier Derek. Ensemble, et avec l'aide d'une autre membre de la police, Anna, ils vont devoir mener de front deux enquêtes : résoudre la disparition de Stéphanie Mailer et reprendre à zéro l'enquête de 1994.

En 1994, un quadruple meurtre fait la une des médias. Une famille est assassinée dans des circonstances étranges, ainsi qu'une joggueuse qui passait par là. Cette famille, c'est celle du maire de la petite ville d'Orphéa. Il est tué, en même temps que sa femme et leur garçon de 10 ans. Ils sont tués le soir de la première d'un très important festival de théâtre. Sûrs d'eux, Jesse et Derek ont travaillé à fond sur ces meurtres et ont prouvé la culpabilité d'un restaurateur.

Tout est trouble, tout est flou, et il y a de nombreux éléments, de nombreux personnages. On navigue entre 1994 et 2014 en plus, mais sans jamais perdre le fil des histoires, des hommes, des femmes. L'écriture est incroyable, on suit, on se plonge, on tente d'éteindre le plus tard possible le soir ! Allez, juste un chapitre ! Et un autre....ça vous parle ?

Les personnalités sont fouillées, les histoires prenantes, il est difficile de lâcher ce roman, on a envie de savoir, envie de comprendre ! Je n'ai pas été déçue par le dénouement, que je n'avais pas vu venir, et ça c'est du bonheur !

A LIIIIIIIIRE !!!!!

chat qui lit

8 avril 2018

Continuum, les archives du temps

J'ai beaucoup, beaucoup aimé ce court roman :

232 pages

232 pages, paru en janvier 2018

J'ai aimé l'histoire, les personnages, et j'attends le tome 2 avec une grande impatience.

On ne connait pas le nom du narrateur, qui, je pense, est l'auteur. Depuis tout petit, le voyage à travers le temps le tracasse. Il en parle avec son père, il croit dans les avancées technologiques.

Il connait depuis des années Maggie, une centenaire énergique, avec qui il a rendez-vous chaque vendredi. Il prend soin d'elle, ils ont des conversations étonnantes sur le temps et la possibilité ou non de revenir en arrière ou partir dans le futur.

Le narrateur a été détecté précoce dans son enfance, mais il ne se sent pas l'âme d'un génie, il ne sait pas comment son QI peut l'aider. Petit à petit, il creuse les hypothèses, les possibilités. Il créé un super logiciel, Ralf, auquel il peut poser toutes les questions possibles. Ralf s'auto-alimente seul, parvient à faire des recherches dans tous les domaines, à être de plus en plus indépendant, même si le héros le contrôle un maximum.

Et puis Ralf parvient à mettre la main et décrypter un très vieux livre, qui explique comment remonter dans le temps. Il manque 42 pages à ce livre, mais Ralf arrive à tout décoder.....et à créer un moyen de remonter dans le temps.

J'ai aimé le côté philosophique : que peut nous apporter un voyage dans le temps ? Peut-on changer les choses ? Est-ce que cela sert à quelque chose ?

L'obsession du héros est de revenir en 1976, pour sauver son père d'un AVC....

Il y a plusieurs niveaux de lecture et c'est vraiment intéressant !

lire2

 

Hier j'ai encore été très gâtée, par Isabelle :

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Et puis Cécile est passée avec des remontants de convalescence ! Tu as vu Cécile, je n'ai pas ouvert !

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A vous deux, un grand :

Merci

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