Pour ce défi de Bidouilles, Chou et Epinards, il fallait coudre une FEI.

J'ai craqué sur du velours cotelé fin turquoise chez Toto tissus. J'ai cherché dans les patrons et choisi un patron Ottobre Woman 2006.... et roule !

Désolée pour la qualité des photos, il fait sombre en ce moment :

Je n'ai pas réussi à rendre la FE plus invisible que ça. Le velours est épais, ce n'est pas évident :

en plus elle tourne !

Nouvelle mission, nouvel endroit, superbe, je suis perchée en haut d'une tour ! Je me sens super bien dans cette nouvelle mission.

Dès le 1er jour...bizutage ? j'ai hurlé fort en ouvrant un tiroir de bureau. Elle était morte pourtant, mais ce n'était pas écrit dessus ! Son corps tout seul mesure un peu plus de 3cm.....si elle avait été vivante, mon coeur s'arrêtait je crois bien !

Et voilà les ravages du temps (enfin, de la lumière), sur un document de 1966. Comment je le sais ? Seule la date reste visible....

Petit plaisir qui m'a fait sourire, la découverte d'un journal de 1958 :

Les objets trouvés sont parlants. Si aujourd'hui encore les lunettes sont fréquentes dans les oublis (avec les clés de voiture. Et là je reste perplexe : comment fait-on pour repartir sans sa clé de voiture ? hein ? mais je m'égare !), je ne crois pas que les objets trouvés recensent beaucoup de sommes d'argent en 2013.....(ni de chapeau non plus !)

Une pub humoristique cachée dans les articles, et je me marre toute seule...

J'ai trouvé aussi des documents du début du 19è siècle, qui m'ont mis des étoiles plein les yeux, comme ce superbe inventaire des archives....de 1834 !!! (photo prise sans flash, ça va de soi)

Mes journées filent et défilent. J'oublie parfois de m'arrêter, plongée dans les documents anciens passionnants qui me renvoient 200 ans en arrière !

Je ne sais plus comment ce titre a atterri dans ma liste :

Le titre est une jolie expression pour parler de la mort.

L'écriture est très originale et m'a bcp plu. On y suit l'histoire malheureuse de Suzanne, mais racontée par sa fille Gabrielle, et qui parle à sa mère. Le récit se fait sous la forme "tu as vécu....". Gabrielle décrit la naissance, l'enfance, l'adolescence, la vie adulte de sa mère, qui a toujours tout fait pour les autres en s'oubliant totalement, en s'effaçant. Elle y décrit aussi ce père immonde, toujours absent mais pesant lourdement sur sa famille, son arrogance, sa méchanceté gratuite, son égoïsme sans borne....

A lire, à lire !!!

Ah j'en ai passé des heures et des heures sur ce cartable plus mini du tout !

J'ai choisi 4 pelotes d'Alaska de Katia (100% acrylique). Ce sont de très grosses pelotes, de 100g. Je les ai mises en pelotes avec mon appareil pour que ce soit plus pratique :

et hop, après, avec un crochet n°8, j'ai monté un rectangle de mailles serrées :

Puis deux poches, une poignée, il restait la doublure à coudre à la main, les attaches à mettre (ô misère qu'on a galéré avec les attaches Loïcia et moi !) :

A l'intérieur, un joli coton "margouillats" trouvé chez Toto :

Pour vous donner une idée de la taille, j'ai posé le dernier MCI dessus :

J'espère qu'il plaira à sa destinataire, c'est un cadeau !!! J'ai bien utilisé les pelotes, il me reste.....30cm !

Dans le Chouette Kit d'automne, il y avait une très belle pelote de laine, super douce.

Il me tardait de l'utiliser pour suivre le tuto du livret : un bonnet. Sauf que j'ai attaqué le bonnet après une grosse journée de boulot et que sans l'aide de Betty, j'y serais sans doute encore ! (quand ça veut pas, ça veut pas....)

J'ai adoré complètement apprendre qqchose de totalement nouveau. Le bonnet prend forme presque tout seul une fois qu'on a compris la technique, ce qui est très motivant :

J'ai terminé la pelote de laine en réalisant le pompon. Et il ne me reste plus rien !

Il est tout doux, il est très chaud, il est rose, j'adore !

Je dois avouer que la laine est si belle que j'ai craqué et commandé des pelotes de la même couleur pour me faire une grande pointe (tuto dans le livret). Donc vous en verrez encore de cette laine magnifique.