Qui ne se plante pas ne pousse jamais
Oh j'ai bien aimé cette légèreté qui tombait bien !
288 pages, paru en février 2019
Bon, j'aime l'auteure, donc je savais quand même que je risquais peu d'être déçue. Je ne l'ai pas été !
J'aime le visuel de ses couvertures : la marinière rouge qu'on retrouve ici sur la plage. Et puis Sophie Tal Men est bretonne, alors je me "retrouve" dans les lieux. Cette fois nous voici à Fréhel, où j'ai des souvenirs de vacances
Jacqueline, 82 ans, est condamnée par une maladie rare et incurable. Avant de mourir, elle tient absolument à ce que sa petite-fille, Margaux, ait trouvé le bonheur. Elle travaille énormément dans la chocolaterie familiale, ne laissant de la place qu'à sa vie professionnelle. Jacqueline sait que le bonheur n'est pas là.
La vieille dame a élevé Alexandre, devenu interne en médecine, happé lui aussi par un travail prenant, oubliant tout le reste et s'oubliant. Il est intolérable à Jacqueline de mourir sans les avoir réunis, étant donné qu'elle est persuadée qu'ils sont faits pour vivre ensemble.
Elle conçoit alors un plan un peu fou pour les attirer au Cap Fréhel....
Un roman qui se lit bien, où j'ai revu passer Marie-Lou avec joie !
Une jolie lecture de printemps !