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254  pages

 


264 pages
 

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679 pages

En ce moment je tricote :

Une paire de chaussettes Sapin de Lysandre Hourdin :

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Hansel et Gretel au crochet :

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Le très beau châle Norlys de Palaluna :

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Des chaussettes araignées 🕷 pour Gabriel :

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Une très belle couverture de Noël :

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1 novembre 2020

En coloc avec l'endométriose

Je vais régulièrement à l'espace culturel. Il doit y avoir quelqu'un de concerné par l'endométriose, ou au moins sensibilisé, parce qu'ils ont une étagère dédiée, ce que je n'ai jamais vu ailleurs. Les nouveautés concernant cette maladie y sont toujours présentes, c'est une chance. J'ai donc repéré ce livre, et je l'ai acheté pour Loïcia. Mais j'ai eu envie de le lire avant :

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Paru en mars 2020, 192 pages

L'auteure donne ici son témoignage, pour évoquer ses solutions, son parcours, et la paix qu'elle a fini par trouver.

Il n'y a pas de recette miracle. Ce qui fonctionne sur l'une sera inefficace sur l'autre.

Elle évoque elle aussi les multiples allers-retours aux urgences, l'indifférence et la non-prise en compte d'une douleur intolérable, la peur, les doutes, les envies d'en finir.

On dit souvent que les femmes atteintes d'endométriose sont dépressives. A tort. La dépression arrive parce qu'on n'a pas de solution, parce qu'on ne supporte plus la douleur, les douleurs, le manque de solution, le manque d'écoute.

Elle parle aussi de la force des réseaux sociaux (pour une fois qu'on peut en parler positivement !) et de l'entraide que la maladie amène forcément. Forcément, parce qu'on est seule et souvent démunie face à ce qui nous arrive et qu'on ne maîtrise plus.

Elle parle aussi du soutien de l'entourage, essentiel pour tenir.

Enfin, elle aussi arrive à une sorte d'apaisement. Ne plus se battre "contre", mais vivre "avec".

C'est un bon livre à offrir à une jeune femme qui découvre sa maladie. Il est aéré, plein de petites touches d'humour (il en faut !)

Je partage ici deux pages qui m'ont touchée, parce que j'aurais vraiment pu les écrire :

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Soyez vigilante : vous avez forcément autour de vous quelqu'un d'atteint. Ne la traiter jamais de chochotte parce qu'elle a mal. Quand elle dit qu'elle a mal, c'est que le seuil du tolérable est déjà largement dépassé...

bisous1

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28 octobre 2020

La famille Martin

Quand David Foenkinos sort un nouveau roman, je fonce !

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240 pages, paru en octobre 2020

Le narrateur est un auteur en panne (est-ce David Foenkinos lui-même ? ou une totale fiction ? Je n'en ai aucune idée !)

La page blanche, il y est. Il rame depuis un bon moment sur l'écriture de son roman actuel, il patauge.

Alors il prend une décision : il va sortir dans la rue et écrire l'histoire de la première personne qu'il va rencontrer dehors.

Cette personne est âgée et s'appelle Madeleine Tricot (!!!). Il lui explique ce qu'il cherche, ce dont il a besoin. Madeleine accepte et tout s'enchaine : non seulement il va écrire la vie de Madeleine, mais le voilà plongé dans la vie d'une de ses filles : Valérie, devenue Valérie Martin. Il rentre dans le quotidien de cette famille et va tout bouleverser, sans le vouloir et sans la moindre mauvaise intention. Lui, ce qu'il veut, c'est observer, comprendre, écrire.

Mais une personne étrangère, même bienveillante, qui entre et s'installe dans une famille, provoque forcément des réactions, et entraine des conséquences ! Patrick, le père, est harcelé au travail, incapable de se défendre. Valérie n'aime plus son mari. Les deux enfants, des ados très ados, ne voient pas cette intrusion d'un bon oeil et sont extrêmement méfiant, contrairement à leur mère et à leur grand-mère. Madeleine, veuve, souhaite retrouver son premier amour.

L'auteur, en retour, voit également sa vie chamboulée. Il vient de rompre avec Marie, ne s'en remet pas vraiment. L'écriture de ce roman hors norme lui donne le courage d'essayer de la revoir.

J'ai aimé ce roman qui est tout sauf banal, alors qu'il retranscrit pourtant simplement une famille lamba.

C'est un bon cru, Foenkinos ne me déçoit décidément jamais !

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20 octobre 2020

Endométriose, un chemin vers l'équilibre

Beaucoup de livres sur l'endométriose sont sortis récemment. Vous les verrrez donc passer, même si je me doute que ça n'intéresse pas tout le monde :

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240 pages, paru en juin 2020

Je reste évidemment méfiante vis-à-vis de tous ces livres. Parce que je sais qu'il faut en prendre et en laisser.

L'auteure, suisse (et ça a son importance), raconte ici son parcours et elle a le courage de ne rien cacher de tous les soucis gênants que l'on rencontre au quotidien avec cette maladie. Les désordres intestinaux, les problèmes de vessie, on en parle peu, par honte. Et pourtant, nous en souffrons quasiment toutes. Et cet aspect est terriblement impactant dans la vie sociale, au-delà des douleurs et de la fatigue. L'auteure explique les opérations, la peur, l'incompréhension, les douleurs, le repli sur soi.

Et explique comment, elle, elle est parvenue à trouver un équilibre avec et non pas contre la maladie, à écouter son corps au lieu de lutter contre.

Je pense aussi être parvenue à cet équilibre, instable, très instable, menacé et menaçant au moindre grain de sable. Je vis à présent avec ma maladie. J'accepte des mots comme "handicap", "fragilité", "différente".

L'auteure s'est orientée vers une approche naturelle et sans médicaments, même si elle a dû passer par plusieurs opérations. L'alimentation anti-inflammatoire lui a apporté de vrais bénéfices.

Pour autant je reste prudente : ce qui convient à l'une ne conviendra pas forcément à l'autre. Le fait d'être en Suisse lui apporte des facilités que nous n'avons pas forcément en France, même si elle a également beaucoup tâtonné dans l'apprentissage d'une alimentation différente et souvent incomprise. Je me dirige aussi vers une alimentation différente, avec énormément de tests et d'essais. J'ai banni le soja, la viande rouge, quasiment toute la viande d'ailleurs mais je ne rechigne pas devant du poulet bio. Mes allergies m'empêchent de compenser par le poisson, donc je cherche des alternatives. J'ai acheté des livres dans ce sens, j'y reviendrai quand je les aurai lus. J'ai bien compris que certains aliments que j'adore épuisent mon organisme. Il faut trouver des alternatives, chercher, essayer. ça marche ou pas, mais il faut essayer.

Elle évoque la lenteur, le ralentissement imposés par l'endométriose. Avoir une vie "comme les autres" est absolument impossible. S'obstiner est une erreur qui ne mène qu'aux urgences. ça aussi, j'y arrive petit à petit. Il est vraiment difficile de parvenir à accepter qu'on a une grande fragilité, qu'on ne sera jamais "comme les autres", qu'on doit vivre, bouger, travailler différemment. Mais la maladie l'impose. Le plus dur n'est au fond pas de l'accepter, mais le regard des autres. Je m'autorise à dormir quand j'en ai besoin, je n'y arrivais pas il y a peu. Mais l'endométriose épuise, il faut se rendre à l'évidence. Et se tenir droite et "faire comme si" toute la journée, parce que je n'ai pas envie de me sentir diminuée et/ou différente, fatigue énormément. Et ce n'est pas grave. Accepter économise l'énergie. Accepter permet de vivre mieux.

Si elle dit n'avoir aucune difficulté à en parler, je n'en suis pas là. J'ai souvent honte de dire "je ne peux pas". Se justifier, expliquer. Ou simplement pas envie, parce que c'est fatiguant. Je n'ai pas parcouru assez de chemin sans doute. J'arrive aussi à dire "je suis trop fatiguée pour....", ou "là, je ne peux pas, c'est trop".

J'y viens, avec lenteur certes.

Bref : un livre à lire, même si on n'adhère pas à tout. Par exemple, elle parle énormément d'écouter son corps, comme si c'était une autre personne, à part. Elle lui parle même. Je dirais plutôt de ne jamais négliger son instinct !

bisous1

14 octobre 2020

Les dédicaces

Pouf, je suis tombée dedans !

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263 pages, paru en sept 2020

Claire a une drôle d'obsession : elle collectionne les livres dédicacés. Pas des dédicaces de gens connus, non non, des dédicaces "ordinaires".

Un jour elle tombe sur une drôle de dédicace. L'auteur, Frédéric Hermelage, y laisse son numéro de téléphone pour une inconnue : Salomé.

Claire se prend au jeu, même l'enquête, rencontre même l'auteur. Parce qu'elle a lu son livre et que son roman est à l'opposé de sa dédicace. Alors elle ne comprend pas, mais veut comprendre. Qui est Frédéric ? Est-ce qu'il se rappelle de Salomé ? Pourquoi une telle dédicace ?

Commence une sorte de comédie, où le chasseur devient chassé, où on perd nos repères sans parvenir à deviner la suite. Claire se fait des idées.....ou pas ? Ici on explore avec détails les sentiments, les impressions, les pensées, les certitudes, les faux-semblants, les mensonges et de façon vraiment subtile et intelligente.

Je me suis complètement faite avoir et c'était drôle ! Se faire cueillir est plaisant !

Depuis que je l'ai commencé, je l'ai pas mal vu dans les rayons des librairies !

A lire, et, pensez à Noël : à offrir !

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9 octobre 2020

Betty

Je l'ai vu beaucoup dans les librairies, alors malgré son poids-pavé, je me suis lancée et j'ai bien fait :

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720 pages, paru en août 2020 (rentrée littéraire)

On suit l'histoire, l'enfance de Betty, au sein de sa fratrie. Elle a deux petits frères, deux grandes soeurs et un frère aîné. Mais surtout elle a un père incroyable, un Cherokee, qui lui apprend la vie en lui racontant des tas d'histoires. Betty est la seule de la fratrie à avoir un vrai physique de Cherokee, ce qui lui vaut le surnom de Petite Indienne. Elle souffre toute son enfance (dans les années 1960) de ses cheveux noirs et son teint foncé.

Betty écoute les histoires que chacun lui confie. Souvent difficiles à entendre. Sa parade, sa façon de ne pas trop rester avec ce poids, est de les écrire puis de les placer dans des bocaux en verre qu'elle enterre.

Elle a une bonne mémoire et sait exactement où est enterrée chaque histoire. C'est son secret, personne n'est au courant, ne se rend compte. La fratrie comptait 8 enfants au départ, mais 2 sont décédés, laissant un vide immense. Un vide qui détruit la maman plus que les autres, incapable de surmonter la perte de ces enfants. Petit à petit, elle se confie à Betty, et celle-ci écrit et raconte ces récits douloureux, cette enfance abominable, qui conduit la maman à lâcher prise et ne plus trouver de goût à la vie. Pourtant elle a un mari adorable et des enfants aimants.

Betty n'a pas une enfance rose bonbon, loin de là. Elle a la chance de très bien s'entendre avec ses soeurs. Flossie rêve de gloire à Hollywood, tandis que Fraya cache un secret effroyable et tente de grandir avec.

On ne sent pas passer les 720 pages. C'est un roman qui marque, qui ne peut pas laisser indifférent. Je comprends qu'il soit présent partout, c'est une histoire très forte. Le point de vue de l'enfant est remarquable et juste.

A LIRE !!!!

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5 octobre 2020

Le sourire du scorpion

J'avais réservé ce roman, par le biais du club des lecteurs, en février. J'ai reçu un mail il y a 2 semaines pour me dire qu'il était arrivé. Évidemment j'avais oublié ma réservation de février !

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210 pages. Paru en janvier 2020

C'est un roman court (enfin pour moi), à l'écriture particulière. On "sent" les ambiances, le froid, l'incompréhension, la haine, la colère.

Tom et Luna sont jumeaux. Ils ont 15 ans et ont toujours vécu avec leurs parents dans un camion rouge. C'est un ancien camion de cirque. Ils parcourent le monde, sont libres et extrêmement heureux.

Un été, la famille fait la connaissance de Goran, un Yougoslave. Le père, Alex, se laisse convaincre d'effectuer une descente de plusieurs jours en canoë avec Goran. La mère est angoissée, a un pressentiment. Mais une fois engagés sur la rivière, ils sont obligés d'aller jusqu'au bout. Ils se prennent un énorme orage et tout bascule, un drame se produit.

On suit alors la difficile reconstruction de cette famille, qui perd tout son bonheur en quelques heures, et tente de faire face, chacun à sa façon.

Tom est le narrateur de ce récit très prenant, parce que tous les éléments nous sont donnés au fur et à mesure, avec lui, en même temps que lui.

Je me suis attachée aux membres de cette famille, qui va tomber dans quelque chose de bien plus grand qu'eux. Destructeur.

Sachez que le roman est une adaptation d'une histoire vraie.

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25 septembre 2020

Petit pays

J'avais très envie d'aller voir Petit Pays au cinéma. Mais quand le livre existe, j'aime beaucoup le lire avant. Je n'étais pas parvenue à le lire lors de sa sortie en 2016. Pourtant j'aime lire le prix Goncourt des lycéens. J'avais peur qu'il soit trop dur, trop guerrier pour moi. La bande-annonce du film m'a convaincue du contraire, et effectivement, je suis contente de l'avoir (enfin) lu :

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224 pages, paru en 2016, existe en Poche.

Gabriel vit au Burundi avec son père et sa petite soeur. Il voit sa mère mais elle ne vit plus avec eux. Elle a fui son pays à cause des guerres ethniques, notion totalement étrangère au petit garçon de 11 ans.

Le papa a réussi à maintenir ses enfants éloignés de la politique.

L'univers de Gaby c'est ses copains, un vieux combi qui leur sert de cabane, l'impasse dans laquelle ils habitent, sa soeur, son père et l'école. C'est toute sa vie et ça lui suffit.

Sauf que la réalité, les massacres, les violences, vont malgré tout le rattraper et le submerger. Il redécouvre ses copains, son entourage, la haine stupide et non fondée. Il voit des hommes, des enfants, et pas des ethnies. On suit toute cette progression aveugle et immense à travers les yeux d'un enfant, qui grandit d'un coup en quelques mois, même s'il cherche d'abord à rester le petit garçon qu'il est encore.

C'est à livre à lire, parce que le silence a été mondial devant un génocide odieux....

Oui, c'est dur, mais ça s'est passé, ça a existé. C'était en 1993 et pas au 18è siècle....et les médias, les politiques, le monde entier a fermé les yeux....

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15 septembre 2020

La part des anges

J'ai tellement vu ce roman dans les librairies, que je me suis plongée dedans :

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375 pages, paru en juin 2020

C'est une histoire difficile, sur la perte d'un enfant. J'ai failli abandonner parce que j'ai envie de lectures gaies en ce moment, mais l'écriture donne envie de continuer.

Lisa est mariée à Hugo, qui est médecin. Ils vivent à Paris, ils ont 2 enfants, Émilie (6 ans) et Théo, qui a 2 ans de plus.

Un jour, Théo est heurté par une voiture. Lisa est persuadée que tout est de sa faute, elle se sent plus fautive que le conducteur. Elle ne parvient pas à remonter de cette perte terrible, malgré la présence et la grande souffrance de sa fille et son mari.

Elle est suivie par un psychiatre chaque semaine, mais ne parvient pas à prendre le dessus.

Un jour, elle décide de tout quitter, tout plaquer et de partir avec sa famille dans le sud. Hugo étant médecin, il n'aura aucun mal à trouver un poste vacant de médecin de campagne. Ils partent donc à Sarlat et visitent plusieurs maisons. Lisa a un énorme coup de coeur pour une maison ancienne, qui a une histoire, et qui s'appelle La part des Anges.

Au passage, j'ai découvert la signification de cette expression.

Là, elle se reconstruit, réapprend à vivre, au départ presque contre son gré. Hugo s'épanouit dans sa nouvelle fonction mais travaille aussi beaucoup et le couple s'éloigne lentement.

C'est une très belle histoire de résilience, un beau texte sur le deuil, mais aussi difficile à lire.

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11 septembre 2020

Disparition

J'avais envie de changer de genre, j'ai choisi un roman policier :

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387 pages, paru en mai 2020

Un gagnant de prix, pourquoi pas ?

 

Maxime et Célia sont dans le métro à Paris, quand un incident se produit sur la ligne et qu'ils se retrouvent coincés, avec des centaines d'autres personnes, dans le noir.

Les secours mettent un peu de temps à arriver, et quand ils sont là, dans un mouvement de panique général, Maxime perd Célia. Elle disparaît, il ne la retrouve pas, elle ne remontera jamais du tunnel.

Le jeune homme se lance alors à sa recherche et il va se retrouver au coeur d'un monde qui lui est inconnu : la drogue, les trafics, l'argent, le dark net, la violence, les meurtres. Il descend sous Paris, dans les catacombes, dans des endroits dont il n'aurait jamais soupçonné l'existence en temps normal. Dans sa quête, il a une alliée de poids : Chloé, qui connaissait aussi Célia et qui connait en partie ce Paris noir.

Malgré le volume du roman, on est tenté de poursuivre la lecture encore et encore, et d'enchainer les chapitres pour connaître la suite !

J'ai bien aimé. Je ne lis pas souvent de policier, mais j'aime bien, de temps en temps, lire un roman policier bien écrit.

Le prochain sera moins noir, je suis incapable de ne lire que des policiers ! Et puis la rentrée littéraire prometteuse est là, avec de multiples tentations.

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5 septembre 2020

L'école des mamans heureuses

Quel beau second roman !

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208 pages, paru en mars 2020

Sophie, que j'ai connu par son blog, s'est lancée dans un second roman plus abouti.

Garance est une maman solo qui vit "au mieux" avec son petit garçon dont elle a la garde partagée. Son ex-mari a refait sa vie, pas elle. Un jour, lors d'une visite chez le pédiatre, elle fond en larmes quand celui-ci lui demande comment elle va elle.

Alors il lui conseille de se rendre dans un endroit très particulier : l'école des mamans heureuses, une association tenue par Rosa.

Là, Garance va rencontrer des mamans avec qui elle n'aurait jamais sympathisé dans la vraie vie. Il y a des personnages hauts en couleurs : Corinne, une grande brute qui cache un énorme coeur, Leila, toute jeune maman perdue, Catherine, la "maman parfaite" qui s'oublie complètement. Elles se retrouvent autour de Rosa, qui les guide et affiche à chaque séance des couleurs intenses dans ses tenues.

Chaque semaine, elles se réunissent, font connaissance et pratiquent une activité, qui va du jardinage....à la boxe !

Elles réapprennent à être elles-mêmes et plus seulement des mamans.

Les émotions sont présentes, bien décrites, j'ai souri et j'ai vraiment passé un bon moment. J'aurais peut-être juste aimé en savoir davantage sur Rosa, mais c'est purement personnel.

Sophie, je sais que tu passes régulièrement par ici, alors surtout continues ! La progression est vraiment chouette à suivre dans ton écriture. On pourrait s'y croire, c'est plausible et vraiment dans le feel-good. On ferme le livre et on a envie de croire dans le genre humain ! J'ai cherché ma Rosa autour de moi, je pense l'avoir trouvée clindoeil

Un grand bravo Sophie, vivement le prochain !

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